Ouattara travaille pour vous-Secteur de la santé : Des performances jamais égalées réalisées depuis 2011
Le secteur de la santé en Côte d’Ivoire se porte merveilleusement bien. Le chef de l’Etat Alassane Ouattara qui a pris à bras le corps ce dossier, a multiplié depuis 2011 des actes forts sur le plan des infrastructures, des équipements, du personnel… pour mettre son pays au même niveau que des pays dits développés.
On ne le dira pas assez, l’accès aux soins de santé de qualité pour tous est un pilier essentiel du Programme « Côte d’Ivoire solidaire » du Président Alassane Ouattara. Le chef de l’Etat a compris qu’en étant en bonne santé, les Ivoiriens peuvent apprendre, travailler et contribuer efficacement à la prospérité de leur pays et à leur propre bonheur. Aussi, a-t-il décidé de « bâtir un système de santé solide, performant et résilient, pour affronter les défis sanitaires actuels et futurs et aller vers la couverture sanitaire universelle ». Et cela, par le renforcement de l’offre en soins de qualité (accessibilité physique, accessibilité financière et qualité des soins) ; l’amélioration de la gouvernance et du financement de la santé et la promotion de la santé par la prévention, l’hygiène et la lutte contre les maladies.
Dès 2011, plus de 30 milliards de FCFA ont été investis pour répondre aux conséquences sanitaires des crises que le pays a connues, avec notamment la mise en service de 42 infrastructures sanitaires à l’échelle nationale et le renouvèlement de la flotte d'ambulances avec plus de 50 nouveaux véhicules. En 2018, le plus vaste programme d’investissements, jamais réalisé dans le domaine de la santé en Côte d’Ivoire, est lancé avec plus de 1 200 milliards de FCFA alloués à la construction et à la réhabilitation d'hôpitaux et de structures spécialisées, afin de garantir un accès équitable aux soins de qualité, partout où l'on se trouve sur le territoire national.
Six ans après son lancement, ce programme est un franc succès avec la mise en place de 10 pôles régionaux d'excellence santé (PRES). Ils assurent la mutualisation des ressources humaines, techniques et permettent à chaque habitant, quelle que soit sa localisation, de bénéficier dans un rayon de 150 kilomètres, des soins adéquats avec de meilleurs plateaux techniques et des médecins spécialistes.
Le gouvernement a renforcé les plateaux techniques des établissements sanitaires avec des équipements de pointe et construit près de 900 établissements sanitaires de premier contact (ESPC) à travers tout le pays, cinq nouveaux CHR, deux nouveaux hôpitaux généraux, deux établissements spécialisés (le Centre National de Radiologie Alassane Ouattara et l’Institut de Médecine Nucléaire d’Abidjan), 26 services obstétricaux et néonataux d’urgence complet et le pôle gynéco-obstétrique et pédiatrique du CHU Cocody avec 228 lits.
De même, 14 centres de dialyse ont été créés pour une meilleure prise en charge de plus de 1400 patients. Il a été mis en place 20 centrales de production d’oxygène cruciales pour le traitement des patients. De même 800 ESPC, 17 hôpitaux généraux, 8 CHR et 3 CHU ont été réhabilités. A côté de ces infrastructures, il faut noter l’acquisition et l’installation de 15 scanners dont 10 à l’intérieur du pays contre un scanner en 2011 ; 8 IRM dont 6 à l’intérieur du pays (San-Pedro, Yamoussoukro, Bouaké et Korhogo). Plus de 3000 lits supplémentaires ont été livrés faisant passer la capacité litière de nos hôpitaux de 6000 à 9000 lits et 70 nouvelles salles opératoires livrées. Il est bon de noter que grâce à ces investissements, près de 80% de la population vit à moins de 5 km d’un centre de santé contre 66% en 2011.
Une ressource humaine abondante
Depuis 2011, ce sont plus de 22 000 agents médicaux et paramédicaux supplémentaires qui ont été recrutés pour renforcer la densité du personnel soignant dans notre pays. Pour maintenir durablement ce résultat, de 3 000 apprenants le gouvernement est passé à plus de 10 000 en première année à l’INFAS avec la création d’antennes dans la quasi-totalité des PRES (Korhogo, Agboville, Aboisso, Daloa, Abengourou, Man, San-Pedro et Bondoukou ). « Cette stratégie permettra de disposer de personnel de santé en quantité avec des professionnels mieux préparés, ancrés dans les réalités locales et capables de faire face aux défis sanitaires », avait indiqué Pierre Dimba, ministre de la Santé, de l’Hygiène publique et la Couverture maladie universelle.
Le personnel de la santé a été décentralisé avec 62% du personnel dans les villes de l’intérieur et dans les villages contre 38% dans la région d’Abidjan. Plusieurs spécialistes ont été déployés à l’intérieur du pays depuis 2022 afin de permettre la prise en charge équitable de certaines pathologies, auparavant uniquement traitées à Abidjan. Des professeurs de médecine de rang A sont affectés dans les hôpitaux de référence des PRES pour accroître le pool de médecins spécialistes formés et assurer la formation continue du personnel. Des réformes entreprises ont permis la réduction du prix de cession des produits sanguins à 3 000 FCFA aussi bien dans le secteur public qu’au privé en 2022. Le taux de satisfaction des besoins en 2023 était de 96% contre 54%. Cette évolution est absolument significative quand l’on sait que les décès maternels sont liés en grande partie aux hémorragies.
Thiery Latt