Panel sur les 14 ans de gouvernance Ouattara - Nialé Kaba : « La transformation exceptionnelle de la Côte d’Ivoire est portée par une vision claire, des stratégies bien pensées, des réformes audacieuses »
Profitant du panel du RHDP sur la gouvernance Ouattara, Nialé Kaba, ministre de l’Économie, du Plan et du Développement, a fait l’état des lieux de la situation de la Côte d’Ivoire dans tous les domaines. Nous vous proposons l’intégralité de son intervention.

« Mesdames et Messieurs ;
Je suis très honorée prendre part à ce panel, qui vise à mettre en lumière les résultats de la gouvernance du Président de la République SEM Alassane Ouattara. Le thème retenu à savoir « Gouvernance Alassane Ouattara pour la Côte d’Ivoire : Regards sur un succès » est d’autant bien choisi que nous sommes à l’heure des bilans, à quelques mois des élections présidentielles d’octobre prochain.
C’est pourquoi, je voudrais remercier les initiateurs de cette rencontre stratégique pour l’opportunité qu’ils nous donnent de partager une fois de plus avec les ivoiriens, les résultats de la vision de notre Champion. Je voudrais également remercier tous les participants mobilisés, en particulier les autres panelistes.
Ma communication porte sur le sous-thème 1 intitulé « La Transformation Économique de la Côte d’Ivoire ». Parler de la gouvernance du Président Alassane Ouattara et comment celle-ci a transformé notre pays est un exercice des plus aisés, tant son empreinte est visible « partout » en Côte d’Ivoire, et au-delà de nos frontières
Mesdames et messieurs,
Comme vous le savez, le Président de la République a hérité en 2011, d’un pays fragile et en récession, conséquence de la longue crise socio-politique de plus d’une décennie, situation exacerbée par la crise post-électorale de 2011.
La situation socioéconomique délétère était caractérisée par :
- le recul de l’activité économique avec un taux de croissance moyen de 1,3% sur la période 2000-2010 et une récession inédite (-6,6%) en 2011. Les secteurs clés comme l’agriculture, le commerce, les infrastructures et l’industrie étaient très affectés ;
- un environnement des affaires peu attractif en raison du climat d’insécurité généralisé et du cadre de gouvernance inspirant peu confiance ;
- un faible taux d’investissement global en dessous de 15,9% sur la période 2000-2010, mettant en exergue l’incapacité du pays à assurer l’entretien des infrastructures socioéconomiques existantes et le maintien de la compétitivité de l’économie ;
- la dégradation des infrastructures sociales, la fragilité des services publics (insuffisance de personnel dans plusieurs régions du pays) et la destruction de milliers d’emplois dans le secteur privé
- l’appauvrissement généralisé des ménages : le taux de pauvreté qui était de 33,8% en 1998, a atteint 48,9% en 2008, puis 55,4% en 2011.
C’est pourquoi, dès son accession à la magistrature suprême, SEM Alassane Ouattara a initié un ambitieux programme de redressement et de développement de la Côte d’Ivoire, avec des objectifs clairs à court, moyen et long terme.
La mise en œuvre efficace de ce programme a permis à notre pays de connaître une transformation rapide et de devenir un modèle en matière de développement.
Comment la gouvernance du Président Alassane Ouattara a-t-elle modifié la trajectoire de développement de la Côte d’Ivoire et quels en sont les principaux résultats et acquis ? Pour répondre à ces préoccupations, mon intervention s’articulera autour des points suivants :
i. Une stratégie de développement pertinente et ambitieuse ;
ii. Des performances économiques remarquables ;
iii. Des acquis sociaux tangibles et ;
iv. Des perspectives prometteuses.
I. Une stratégie de développement pertinente et ambitieuse
Mesdames et messieurs,
La transformation exceptionnelle que connaît la Côte d’Ivoire depuis l’accession de SEM Alassane Ouattara à la tête du pays, est portée par une vision claire, des stratégies bien pensées, des réformes audacieuses et un engagement indéfectible en faveur du progrès économique et social.
L’objectif général est de bâtir une économie libérale forte et résiliente, à visage humain, permettant à la Côte d’Ivoire d’assurer sa transformation structurelle, et de rejoindre rapidement la catégorie des pays émergeants (à revenu intermédiaire de la tranche supérieure).
A cet effet, l’État se devait de réaliser des investissements massifs pour mettre à niveau et étendre les infrastructures sociales et économiques, assainir l’environnement des affaires, reformer le secteur financier, et créer ainsi les conditions de l’éclosion d’un secteur privé fort, qui demeure le moteur de la croissance. L’Etat devrait mettre également en place des mécanismes d’inclusion sociale, établir et maintenir un cadre macroéconomique solide, propice à la saine conduite des affaires. A cet égard, vous noterez que le pays s’est volontairement mis sous-programme avec le FMI de façon quasi systématique, en vue de maintenir la discipline budgétaire nécessaire à cet effet.
Le retour à la planification stratégique du développement a été le point de départ de la mise en œuvre de cette vision. Ainsi, la Côte d’Ivoire a connu trois plans nationaux de développement (PND), répondant chacun aux défis courants et émergents.
Mesdames et messieurs,
Le premier PND 2012-2015, avait pour objectif de : (i) rétablir la sécurité et l’état de droit ; (ii) consolider la réconciliation et la paix ; (iii) relancer l’économie et ; (iv) restaurer l’image du pays.
Le tout premier exploit que le Président de la République a accompli dans ce cadre, est d’avoir rapidement ramené la paix et la sécurité, repositionné la Côte d’Ivoire sur la scène internationale, après une si longue période de crise. Le dialogue social instauré par le Gouvernement a créé un climat de confiance entre les différents acteurs et renforcé l’environnement social, consolidant ainsi la paix et la cohésion sociale.
Dès lors, les conditions étaient réunies pour dérouler la stratégie de développement dans les PND suivants, afin de bâtir une économie résiliente, et accélérer la transformation économique et sociale de la Côte d’Ivoire.
La stratégie de croissance mise en place depuis 2012, a consisté à investir massivement dans les infrastructures économiques (routes, ports aéroports, énergie, numérique, etc.) et les infrastructures sociales de base (éducation, santé, électricité, eau potable, logements sociaux, etc) tout en améliorant la gouvernance macroéconomique et sectorielle.
Dans la stratégie, des actions ont été prises (un cadre institutionnel, FMI) pour garantir une gestion économique et financière responsable. La stratégie de développement a bénéficié du soutien des PTF pour une mise en œuvre efficace
Ainsi, le développement des infrastructures économiques a permis d’améliorer la connectivité de notre pays à l’extérieur, la mobilité dans la grande ville, Abidjan en particulier, de connecter le monde rural aux centres urbains, et de réduire les coûts des facteurs.
Quant aux infrastructures sociales, elles contribuent directement à l’amélioration des conditions de vie des populations ainsi qu’au développement du capital humain. Pour renforcer l’inclusivité de la croissance, des programmes accélérateurs comme le Programme Présidentiel d’Urgence (PPU), les PSGouv et le PJGouv sont mis en œuvre ciblant davantage les besoins sociaux des régions et des populations les plus vulnérables, en particulier les jeunes et les femmes.
Dans la perspective de soutenir une croissance forte et inclusive, la stratégie du Gouvernement a consisté à mener des réformes majeures visant à lever les contraintes de développement des grands secteurs de l’économie : (i) la gestion des finances publiques ; (ii) la réforme du système financier ; l’environnement des affaires (nouveau code des investissements, des codes sectoriels, différents guichets uniques de facilitation des formalités; (iv) la réforme des filières agricoles clés, notamment café, cacao, anacarde, hévéa et riz….
Enfin, pour renforcer la résilience de notre économie face aux chocs climatiques, le Gouvernement a intensifié les efforts en vue d’améliorer la gouvernance du secteur de l’environnement, renforcer la gestion durable des ressources naturelles et de la biodiversité, intégrer le changement climatique dans les politiques et stratégies sectorielles, et renforcer la résilience des populations. Cette stratégie bénéficie de l’appui du FMI à travers la Facilité pour la Résilience et la Durabilité (FRD), pour 1,3 milliards de dollars.
II. Des performances économiques remarquables
Mesdames et messieurs,
La stratégie de développement mise en œuvre et les différentes réformes structurelles entreprises depuis 2012 ont donné des résultats tangibles. Le pays a enregistré une croissance forte et inclusive, avec un taux moyen de 8,1% sur la période 2012-2019, 0,7% en 2020 du fait de la pandémie à Covid 19 (économie résiliente), et 6,5% de 2021 à 2024.
Ces performances ont été possibles grâce à plusieurs facteurs dont les principaux sont :
1. la solidité du cadre macroéconomique qui se caractérise par un déficit budgétaire maitrisé (estimé à 4,0% du PIB en 2024 contre 5,2% du PIB en 2023 et 6,8% en 2022, avec une consolidation prévue pour cette année), une inflation contenue,( à 1,4% en moyenne sur la période 2011-2019 et 4,3% en moyenne sur la période 2021-2024 grâce aux mesures de lutte contre la vie chère), un risque de surendettement modéré ( avec un ratio stock de la dette/PIB estimé à 58,1% en 2023 largement en dessous de la norme communautaire de 70%) et une amélioration du taux de pression fiscale qui est passé de 8,2% en 2011 à 14,4% en 2024.
2. l’augmentation continu des investissements depuis 2011. Le taux d’investissement global est passé de 14,1% du PIB en 2011 à 26,2% en 2024.
C’est l’occasion de remercier nos partenaires au développement, bilatéraux et multilatéraux, qui ont soutenu la Côte d’Ivoire dans sa formidable mue entamée depuis 2011.
Vous noterez également avec une expansion plus forte de l’investissement privé (19,2% en 2024 contre 8,1% en 2011). Cela traduit bien le fait que le Gouvernement a fait du secteur privé le moteur de la croissance économique.
3. les réformes majeures dans les grands secteurs de l’économie comme je l’ai déjà souligné, y compris l’attractivité du secteur privé.
Mesdames et messieurs,
Ces performances macroéconomiques ont permis d’amorcer la transformation structurelle de l’économie marquée par le dynamisme du secteur secondaire dont la contribution au PIB est en hausse (passant de 22,1% en 2021 à 23,6% en 2024) au détriment de celle du secteur primaire (16,2% en 2021 contre 14,9% en 2024).
En outre, la part du secteur manufacturier est passée de 12,1% en 2020 à 15,1% en 2024., traduisant le succès de la politique de transformation locale des produits agricoles.
A cet effet, entre 2010 et 2024, la capacité installée de broyage de cacao fèves a plus que doublé, atteignant un million de tonnes avec un taux de transformation d’environ 40%. De même la transformation de noix de cajou connait des progrès notables atteignant presque 400 000 tonnes de capacité installée pour un taux de transformation de 36% contre moins de 5% en 2010-2011. Ainsi, le pays compte 29 usines de transformation en fin 2024, générant plus de 14 000 emplois directs,
Par ailleurs, la mise en œuvre des réformes structurelles a permis d’enregistrer des résultats positifs importants au titre de la bonne gouvernance. Ainsi :
-un score CPIA de 3,8 en 2023, au-dessus de la moyenne de l’Afrique subsaharienne qui est de 3,1 ;
-l’amélioration de la notation souveraine du pays par Moody’s, passant de Ba3 avec une perspective positive en 2023 à Ba2 avec une perspective stable en 2024. Cette notation positionne la Côte d’Ivoire aux côtés de l’Afrique du Sud comme deuxième qualité de crédit en Afrique subsaharienne.
-la confirmation de la note souveraine de la Côte d’Ivoire à BB- avec perspective stable par l’agence de notation Fitch Rating.
-le bond qualitatif en matière de lutte contre la corruption. Dans le classement 2023 de Transparency International, la Côte d’Ivoire passe de la 105ème place en 2021 à la 69ème place en 2024, sur 180 pays classés.
4. la politique volontariste de développement des infrastructures socio-économiques à travers des investissements massifs.
En matière d’infrastructures routières et de transports :
-Le linéaire total de routes bitumées est passé de 6 500 km en 2011 à 8 500 km en 2024, soit une évolution de 2 000 km sur la période (4.000 km de route bitumées ont été entièrement reprises) et ;
-Le linéaire d’autoroutes est passé de 162 km en 2011 à 400 km en 2024.
-De nombreux autres projets structurants comme, les 3ème, 4ème et 5ème pont d’Abidjan ont renforcé la compétitivité du pays.
En matière d’infrastructure portuaire, le PAA a été modernisé à travers de grands travaux notamment, notamment l’élargissement du canal de Vridi et du tirant d’eau (profondeur de l’eau), la construction de quais spécialisés (roulier, céréalier et minéralier) et d’un 2ème terminal à conteneurs. Ces investissements ont redonné au PAA sa compétitivité sur la façade maritime du golfe de Guinée.
En matière énergétique, la capacité de production du pays a plus que doublé, passant de 1391 MW en 2011, à 2 907 MW en 2023, faisant de la Côte d’Ivoire un hub exportateur régional d’électricité.
En matière de télécommunication, les acquis notables sont, entre autres :
- (i) 5 207 Km de fibres optiques ont été posés à fin 2023 ;
- (ii) le taux de pénétration de la téléphonie mobile a plus que doublé, passant de 76,75% en 2011 à 172% en 2023 et
- (iii) le taux de pénétration du mobile money a atteint 82,2% en 2023.
III. Des acquis sociaux tangibles
Mesdames et Messieurs,
Honorables participants
Pour un meilleur partage des richesses, le Gouvernement a mis en œuvre d’importants programmes, notamment en matière d’accès aux services sociaux de base, et de préservation du pouvoir d’achat des populations.
Dans ce cadre, la mise en œuvre du PJGouv a impacté directement 2 608 869 jeunes sur la période 2023-2024.
En vue de disposer d’un capital humain capable de soutenir la transformation économique et sociale du pays, l’accès à l’éducation et à la formation technique et professionnelle a été renforcé avec la construction de nouvelles infrastructures et l’amélioration de la gouvernance des secteurs.
Au titre des infrastructures, on note :
-La construction de 46 347 salles de classe de 2011 à 2024 au préscolaire et primaire, avec le recrutement de 83 897 enseignants sur la même période ;
-La construction de 608 établissements secondaires publics de 2012 à 2024, faisant passer le nombre total d’établissements de 294 en 2011 à de 902 en 2024, soit un peu plus du triple ;
-La construction et la réhabilitation de 22 lycées et centres de formation professionnels de 2012 à 2022 et ;
-La construction de cinq nouvelles universités et la création de l’université virtuelle, faisant passer le nombre d’universités publiques de trois (03) en 2011 à neuf (09) en 2024. Ces nouvelles universités thématiques visent à offrir des curricula en adéquation avec les potentialités régionales.
Au titre de la gouvernance, on note :
-L’adoption de la loi portant Politique de Scolarisation Obligatoire (PSO) dans l’enseignement de base ;
-La mise en œuvre du Programme École de la Deuxième Chance (E2C) et ;
-La mise en œuvre du programme Académie des Talents (ACT).
Les résultats obtenus sont éloquents :
Le Taux Net de Scolarisation (TNS) au primaire s’est situé à 96,46% en 2024 contre 72,9% en 2013, soit une hausse de 21 points de pourcentage en une décennie ;
-Le taux d’achèvement au primaire s’est situé à 85,24% en 2024 contre 59,2% en 2012 et ;
-Au premier cycle du secondaire, le taux d’achèvement est passé de 39,9% en 2013 à 81,4% en 2024.
En matière de santé, l’accessibilité aux soins de qualité et l’offre de services se sont considérablement améliorés grâce à la construction/réhabilitation des infrastructures et la mise en œuvre de la Couverture Maladie Universelle.
Au titre des infrastructures sanitaires, les principales actions, de 2012 à 2024, portent notamment sur :
-La Construction de l’Hôpital Mère-Enfant Dominique Ouattara de Bingerville ;
-La construction du CHU d’Angré, de 5 CHR, de 18 HG et de 818 ESPC ;
-La construction en cours du CHU d’Abobo, 4 CHR et 9 HG ;
-La réhabilitation/extension de 4 CHU, 22 CHR, 80 HG et 1 082 ESPC ;
-La construction des Pôles obstétriques des CHU de Cocody et de Treichville et ;
-La construction de trois instituts spécialisés notamment : l’Institut de médecine nucléaire d’Abidjan ; l’Institut de cardiologie de Bouaké et ; le Centre National d’Oncologie Médicale et de Radiothérapie Alassane Ouattara (CNRAO).
Ces actions ont permis de faire passer le pourcentage de la population vivant à moins de 5 Km d’un établissement sanitaire à 80% en 2024 contre 66% en 2011.
De même, le taux de mortalité maternelle est passé de 614 décès en 2012 à 385 décès pour 100 000 naissances vivantes en 2021. Dans la même veine, le taux de mortalité des enfants de moins de 5 ans de 108‰ en 2012 à 74‰ en 2021.
L’accès à l’électricité s’est nettement amélioré entre 2011 et 2024 en passant de 77 % à 97 % avec l’accroissement du nombre de localités électrifiées de 2 847 à 8 045. Quant au taux de couverture, il est passé de 33,4 % à 94 %.
En matière de sécurité et de souveraineté alimentaires, la production de riz paddy a atteint 2 millions de tonnes en 2024, contre 846 mille tonnes en 2011.
En matière de logements sociaux, le Gouvernement a réalisé 40 000 logements de 2012 à 2024 et procédé au lancement du programme de construction de 25 000 logements sociaux en location simple et location-vente.
Tous ces progrès peuvent être appréciés à travers un certain nombre d’indicateurs, dont je citerai trois :
- le taux de pauvreté qui est passé de 55,4% en 2011 à 37,5% en 2021, soit une baisse de 17,9 points de pourcentage.
- l’Indice de Développement Humain (IDH), est passé de 0,468 en 2011 à 0,550 en 2021, soit une progression d’environ 17,5%.
- l’espérance de vie à la naissance est passée de 56,57 ans en 2012 à 61,94 ans en 2024.
IV. Des perspectives prometteuses
Mesdames et Messieurs,
Distingués participants
Les perspectives économiques demeurent bonnes, avec la poursuite de l’assainissement des finances publiques, le dynamisme du secteur extractif et le renforcement du secteur industriel. Pour rappel, la production pétrolière devrait atteindre les 200.000 baril jours avant 2030 et d’importants gisements minéraliers entrent en production.
Par ailleurs, le PND en cours d’élaboration devrait mettre en place un modèle de croissance dit « Côte d’Ivoire 2.0 » plus transformateur de l’économie, plus créateur d’emploi, à impact plus grand sur la réduction de la pauvreté.
Dans ce cadre, le Gouvernement est engagé à accélérer la marche vers une nation prospère et solidaire avec la poursuite de la mise en œuvre du Plan Stratégique Côte d’Ivoire 2030. Notre cap, celui des pays à revenu intermédiaire de la tranche supérieure avec une amélioration continue des conditions de vie des ivoiriens et une forte réduction de la pauvreté.
Conclusion
Pour me résumer, le succès de la gouvernance du Président Alassane Ouattara est indéniable. Grâce à des choix stratégiques pertinents, à une gestion rigoureuse et à une vision de long terme clairement définie, la Côte d’Ivoire est aujourd’hui un modèle de progrès en Afrique et dans le monde. C’est un bilan éclatant, non seulement en matière de croissance et de stabilité macroéconomique, mais aussi dans la conduite des réformes structurelles et des investissements qui ont profondément amélioré le quotidien de nos concitoyens.
Il nous appartient donc de le soutenir dans ce chantier qui nous permettra, à la fois de consolider les acquis sociaux et économiques et surtout de bâtir une nation prospère et solidaire, où chaque Ivoirien pourra pleinement contribuer au développement du pays et bénéficier équitablement des fruits de la croissance.
Je termine mon propos en réitérant mes remerciements aux organisateurs et à tous les participants.
Je vous remercie. »