Présidentielle 2025 : Le chef du canton central de Duékoué prêt à sensibiliser sa population pour des élections apaisées  

Présidentielle 2025 : Le chef du canton central de Duékoué prêt à sensibiliser sa population pour des élections apaisées  

Le samedi 11 janvier 2025, le Glou Gnomblehi Hubert, dit Bagui ô Gbahou 3, chef du canton central de Duékoué, a souhaité une année électorale de paix pour la Côte d'Ivoire. Il a commencé ses vœux par le Président de la République Alassane Ouattara grâce à qui, a-t-il relevé, la paix et la stabilité règnent en Côte d'Ivoire. Glou Gnomblehi Hubert n'a pas manqué de dire merci à la ministre d’Etat Anne Désirée Ouloto. Celle-ci, suite à sa nomination en qualité de chef du canton central de Duékoué, a envoyé une forte délégation pour le féliciter. « Anne Désirée Ouloto m'a aussi félicité pour la forte mobilisation lors de la venue du vice-président dans notre région », a-t-il déclaré.   

Raison pour laquelle, il a dit que son intronisation se fera en accord avec « sa fille » Anne Désirée Ouloto. « C'est ensemble avec ma fille, la ministre Anne Désirée Ouloto, que nous allons arrêter la date de mon intronisation », a fait savoir le chef du canton central de Duékoué.  Bien évidemment, il en a profité pour saluer le ministre-gouverneur du District autonome des Montagne, Dr Albert Flindé, les trois ministres présidents des régions, qui forment l'ossature dudit District, que sont le ministre conseiller à la présidence de la République, Dr Albert Mabri Toikeusse, président du conseil régional du Tonkpi, Dr Serey Doh Célestin, président du conseil régional du Guemon, Anne Désirée Ouloto, présidente du conseil régional du Cavally. Il a également salué Gah Roger, maire de Bangolo, Baillet Ben Séverin, maire de Guiglo et bien d'autres cadres. Conscient que 2025 est une année électorale, donc particulière pour la Côte d'Ivoire, Glou Gnomblehi Hubert entend mener une tournée pour sensibiliser ses concitoyens. Pour lui, il s'agira pour les ivoiriens de simplement aller voter et attendre dans la quiétude la plus totale les résultats des élections. Mieux, d'accepter les résultats de ces élections. Car après une élection, la Côte d'Ivoire va continuer d'exister.

Angeline Zouh