Ouattara travaille pour vous-Fourniture d’eau portable : Comment l’effet Ouattara profite à des millions d’Ivoiriens

L’eau, dit-on, est source de vie. Elle ne devrait donc pas être un luxe. C’est fort de cela que depuis 2011 qu’il est au pouvoir d’Etat, Alassane Ouattara met un point d’honneur à multiplier ses efforts pour la rendre accessible à un grand nombre de ses concitoyens. Il a ainsi investi d’importantes ressources financières pour que l’Ivoirien où qu’il se trouve en Côte d’Ivoire ne manque d’eau potable.

Ouattara travaille pour vous-Fourniture d’eau portable : Comment l’effet Ouattara profite à des millions d’Ivoiriens

Chaque minute, cinq personnes meurent dans le monde parce qu'elles n'ont pas accès à l'eau potable. La bataille pour inverser cette tendance reste donc une préoccupation pour les Etats modernes, comme la Côte d’Ivoire. Ainsi, de 2011 à 2025, plus de 500 villages ont été équipés de 1000 pompes à énergie solaire.  Aujourd’hui, plus de 1000 villages sont en cours d’équipement avec 2000 pompes à énergie solaire.   Plus de 1 361 713 branchements sociaux ont été réalisés pour les ménages à faibles revenus. Sur la même période, plus de 1 225 milliards de FCFA ont été investis dans la construction et la réhabilitation d’ouvrages. C’est dans cette dynamique que l’usine de traitement d’eau de la Mé a été construite. Elle est la première du genre à desservir le district d’Abidjan. Située dans le village de Kongofon, dans la sous-préfecture de Brofodoumé, près d’Alépé, l’infrastructure hydraulique, installée sur 8 hectares, est dotée d’une capacité de production de 240 000 mètres cubes d’eau par jour.

Elle comprend un ouvrage de prise d’eau dans la rivière, une usine de potabilisation, une canalisation de diamètre 1 400 centimètres sur 28 kilomètres de long et deux châteaux d’eau de 5 000 m3 chacun.

On note également la station d’eau potable de Bonoua. Elle  a été construite pour alimenter la ville d’Abidjan en réduisant son déficit d’approvisionnement en eau potable. Par l’ouverture des vannes opérée le 2 mars 2015, le Président de la République Alassane Ouattara venait de propulser 80.000 m3 d’eau dans le réseau de 124 kilomètres de canalisation reliant Bonoua aux châteaux d’eau de Koumassi et de Vridi d’où ils seront ensuite distribués à différentes communes du district d’Abidjan. 670 systèmes d’hydraulique urbaine sont en cours de réhabilitation dans plus de 100 sous-préfectures.

De plus, le taux de couverture national est passé de 57% en 2011 à 84% en 2025. La proportion des populations bénéficiaires est de 73% contre 71,74% sur la même période. Au niveau de la capacité de production, elle  est passée de 183 millions de m3 à 378,2 millions de m3. La capacité de production nationale en 2025 est de 1 674 000m3/jour contre 350 000m3/jour en 2011. Le nombre d’abonnés a connu aussi une hausse considérable. De 680 287 en 2011, il est passé en 2025 à 2.042.000.

 Les sous-préfectures reliées au réseau ont également connu un accroissement en passant de 221 à 295. La longueur totale du réseau est aujourd’hui de 19018 km. Il était à 12 985 km à l’accession du Président Alassane Ouattara à la magistrature suprême. Le nombre d’infrastructures hydrauliques est lui passé de 17 990 à 26 106.

 

 

Un programme ambitieux pour le bonheur des populations

Dans le cadre du Plan national de développement (PND 2021-2025), de nombreux ouvrages ont été réalisés pour offrir de l’eau de qualité aux populations. On peut citer, entre autres, la construction de nouvelles stations pour renforcer le dispositif existant, de châteaux d’eau, de systèmes d’adduction d’eau potable dans toutes les villes de 4 000 habitants.

 

Si la station de traitement de la Mé est la dernière infrastructure majeure inaugurée, on se souvient déjà qu’en 2015, la construction de la station d’eau potable de Bonoua a marqué une étape essentielle pour alimenter la ville d’Abidjan en réduisant son déficit d’approvisionnement en eau potable. C’est le Président de la République Alassane Ouattara qui en avait ouvert les vannes le 2 mars 2015. Faisant couler 80 000 m³/jour dans le réseau de 124 kilomètres de canalisation reliant Bonoua aux châteaux d’eau de Koumassi et de Vridi pour desservir différentes communes du district d’Abidjan.

D’un coût total de 59,5 milliards de FCFA, le projet de renforcement de l’alimentation en eau potable du Sud d’Abidjan à partir de la nappe du Sud-Comoé a permis d’améliorer les conditions d’approvisionnement en eau potable de près de 2 millions de personnes.

Le gouvernement s’est engagé à construire une usine d’eau potable qui exploitera la lagune Aghien, la plus grande réserve d’eau douce de Côte d’Ivoire, située à l’est de la ville. La capacité de production de cette installation est estimée à 150 000 m3/jour.

Quant au château d’eau à Abobo-Avocatier, en cours de finition, il est prévu pour alimenter environ 50% de la population de la commune la plus peuplée du District d’Abidjan.

En 2018, c’est la ville de Bouaké qui a été touchée par de graves pénuries d’eau après une période de grande sécheresse. Cette situation difficile a justifié la réalisation du projet de renforcement de l’alimentation en eau potable de la ville de Bouaké et des localités environnantes.

Toujours dans le district de la Vallée du Bandama, des travaux de renforcement de l’alimentation en eau potable de Katiola et des localités environnantes, ont été engagés pour un coût de 18,3 milliards de FCFA. Les travaux permettront de couvrir les besoins en eau potable des populations de Katiola et des localités environnantes jusqu’en 2040.

Les travaux de la ville de Katiola font partie des réalisations hydrauliques dénommées « le projet des 12 villes ». Il est financé par Eximbank Chine et concerne les villes, telles que Bouaflé, Boundiali, Daloa, Divo, Grand-Lahou, Katiola, Mankono, Odienné, Sassandra, Séguéla, Touba et Tanda.

Le coût global du projet des 12 villes est estimé à 170,250 milliards de FCFA. Ce sont autant d’ouvrages essentiels dont l’achèvement permettra d’améliorer les conditions d’accès à l’eau potable. Un objectif étant bien en ligne avec l’ambitieux programme vision 2030 du Président de la République pour « Une Côte d’Ivoire solidaire » qui promet un taux d’accès à l’eau de 95% en 2025 et de 100% en 2030.

Thiery Latt