Présidentielle 2025 : Des milliers de jeunes rendent hommage au Président Alassane Ouattara dans un stade Félix Houphouët-Boigny en ébullition

Le stade Félix Houphouët-Boigny a vibré, le samedi 18 octobre, au rythme des chants, danses et cris de joie de plus de 40 000 jeunes venus de toutes les régions de Côte d’Ivoire. Ils répondaient ainsi à l’appel du ministre Mamadou Touré, directeur national de campagne chargé de la jeunesse, pour rendre un vibrant hommage au Président de la République, Alassane Ouattara, et lui réaffirmer leur soutien à quelques jours du scrutin présidentiel du 25 octobre.
Dès les premières heures de la matinée, l’ambiance était déjà électrique dans les travées du « Félicia ». En levée de rideau, plusieurs artistes ivoiriens ont mis le feu à la pelouse, déclenchant, à chaque passage, des scènes de liesse. Le public, enivré par la musique, se levait, chantait et dansait dans une communion totale avec ses idoles. Et lorsque le président-candidat Alassane Ouattara a fait son entrée, aux alentours de 11 h 20, c’est une véritable hystérie collective qui s’est emparée du stade. Les gradins tremblaient sous les acclamations. « ADO ! ADO ! ADO ! », scandait la foule dans une clameur qui couvrait, par moments, la musique d’accueil.
Tout au long du meeting, la ferveur n’est jamais retombée. Les jeunes militants, galvanisés, réagissaient à chaque mot fort pendant les discours de Touré Mamadou ou de leur porte-parole, criant encore plus fort pour marquer leur adhésion. Parfois, leurs cris de joie rendaient les propos à peine audibles tant la ferveur populaire surpassait les décibels.
Un autre temps fort de l’excitation fut atteint avec Roseline Layo. Dès les premières notes de son célèbre titre « Môgô fariman », le stade entier a explosé : cris, chants, sauts, coups de sifflet… Les jeunes ont repris le refrain en chœur, du début à la fin, dans une ferveur indescriptible. Quand le chef de l’État a pris la parole, pendant son intervention, il recevait des ovations spontanées à chaque évocation d’un bilan ou d’une promesse. Et quand vint la fin du discours, le stade explosa à nouveau. Les officiels ont alors procédé à un lâcher de ballons aux couleurs nationales – orange, blanc et vert –, symbole d’unité et d’espoir pour la Côte d’Ivoire.
Même après le départ du président, l’ambiance ne faiblit pas. Les artistes invités ont repris le relais, prolongeant la fête. Entre danses et chants, le « Félicia » est resté incandescent, témoin d’une journée d’allégresse et de ferveur politique à la gloire du Président Ouattara.
Rahoul Sainfort