Ouattara travaille pour vous - Monde des arts et de la Culture : Comment Alassane Ouattara a donné aux artistes ivoiriens leur dignité !

Ouattara travaille pour vous - Monde des arts et de la Culture : Comment Alassane Ouattara a donné aux artistes ivoiriens leur dignité !
La vision du chef de l’Etat, pour le monde artistique, est que les créateurs des œuvres de l’esprit vivent de leur art

Il est, désormais, bon d’être artiste en Côte d’Ivoire ! Cela, les créateurs des œuvres de l’esprit et autres acteurs du monde culturel le disent sans fioriture.

En effet, ces dernières années, surtout, depuis l’avènement à la magistrature suprême de l’actuel chef de l’Etat, Alassane Ouattara, l’écosystème des arts et  la culture se porte bien.

La preuve, les femmes et les hommes qui évoluent dans le monde de la culture en Côte d’Ivoire vivent merveilleusement et abondamment du fruit de leurs œuvres.

Cela est dû à la claire vision que le président de la République a du secteur de la culture : celle d’en faire un robuste pilier de développement économique de la Côte d’Ivoire.

La première des mesures de cette vision, c’est la mise en place d’un cadre juridique normatif avec l’adoption de la loi 2014-425 du 14 juillet 2014 portant politique culturelle nationale. Subséquemment, la culture sera inscrite dans le Pnd (Programme national de développement), l’érigeant ainsi l au rang de priorité pour la Côte d’Ivoire.

Avec l’adoption de cette loi, toutes les questions liées au développement culturel seront adressées dans tous les secteurs de ce domaine. Que ce soit la question de la création des emplois, le droit d’auteur, la circulation des créateurs et leurs œuvres, cette loi encadre désormais tout cela.

Après la mise en place du cadre juridique, la deuxième mesure qui traduit dans les faits la vision du chef de l’Etat et qui découle de la loi ci-dessus citée, est la mise en place d’une rente viagère, à hauteur de 300 000 FCFA, au bénéfice des icônes de la culture.

Pour Alassane Ouattara, l’Etat de Côte d’Ivoire doit être redevable vis-à-vis de ces éminents musiciens, plasticiens, écrivains, bref, ces artistes qui, par leur génie créateur, ont contribué au renforcement de l’unité nationale et porté haut le drapeau ivoirien à un moment donné. Au soir de leur carrière, la nation doit leur rendre tout le bonheur qu’ils ont procuré aux Ivoiriens.

Ainsi, pour commencer, en avril 2014, c’est un chèque de  4.500.000 FCFA qui sera remis à 15 de ces icônes à la salle Félix Houphouët-Boigny du District d`Abidjan par le ministre de la Culture et de la Francophonie d’alors, Maurice Kouakou Bandaman.

Ainsi, des figures emblématiques de la musique telles qu’Allah Thérèse, N’goran Kouamé Adigri,  Bailly Spinto, Anouma Brou Félix, Zakri Noël, Eba Aka Jérôme, Marie-Rose Guiraud, Johnny Dedy La Fleur, pour ne citer que ceux-ci, ont reçu cette reconnaissance d’Alassane Ouattara, en continuateur fidèle et attentif de l’œuvre du Président Félix Houphouët-Boigny.

Surtout que cette rente, selon Maurice Bandaman,  est payée directement par le premier citoyen ivoirien sur « le budget de la présidence de la République ».

Par la suite, le 19 avril 2018, douze (12) autres icônes des arts et de la culture seront inscrites sur la liste des bénéficiaires de cette pension instituée par le président de la République. Au nombre de ces heureux bénéficiaires, l’on note, entre autres, Monseigneur Pierre Marie Coty, un des auteurs  de l’Abidjanaise, l’hymne national de Côte d’Ivoire, Lago Tapé Séhia (Lukson Padaud), Ba Youssouf, artiste plasticien…

L’une des mesures qui a aussi stabilisé le monde des arts et de la culture, c’est la restructuration et la gestion efficiente du Burida (Bureau ivoirien du droit d’auteur).

Justement à ce sujet, c’est toute la Côte d’Ivoire, au-delà des sociétaires et des créateurs des œuvres de l’esprit, qui se réjouit. Car, depuis un bon moment, l’on n’entend plus les sempiternels "Sos", appels à l’aide pour soutenir tel ou tel artiste dans la détresse.

 

 

L’autre visage humain de la gouvernance

Cela est dû à la mise en place d’une gouvernance claire, érigeant le Burida en régie financière en mettant la maison des artistes sous la direction d’un financier de carrière, rompu à la gestion. Le directeur général, Karim Ouattara, issue d’une régie financière, après un appel à candidature, et son équipe travaillent sous la supervision d’un Conseil de gestion, présidé par l’écrivain, Jules Tiburce Koffi. Le tout, sous l’œil avisé de la ministre de la Culture et de la Francophonie, Mme Françoise Remarck, elle-même, esthète de gestion et de l’économie des médias.

Dans une autre vie, l’actuelle responsable du portefeuille de la Culture a savamment administré une multinationale des médias.

La preuve de cette gestion exceptionnelle et optimale du Burida, ce sont les répartitions trimestrielles des droits d’auteur et des droits voisins. La toute dernière datant du 15 mai 2025 a permis de distribuer, aux 3171 sociétaires de "la Maison Orange", plus de 315 millions de FCFA en « droits d’auteur » et « droits voisins ».

Et la maison des artistes fait même état de « droits en attente ». C’est-à-dire, des fonds en attente d’être distribués aux éventuels ayants-droit pas encore déclarés. Ce qui dénote de la bonne santé financière et l’efficiente gestion.

Justement, à propos de la bonne santé du Burida, dans le cadre de l’application de "la rémunération pour copie privée" et "la rémunération pour reproduction par reprographie", la structure vient de gagner son procès et engrange 150 millions qui bénéficieront aux artistes de Côte d’Ivoire.

En outre, cette embellie du secteur de la culture se reconnait aujourd’hui par le bouillonnement artistique, dans tous les domaines de l’art, en Côte d’Ivoire. De grandes expositions, dans le domaine des arts visuels, de grands spectacles du côté des arts de la scène, sans oublier le monde musical où les artistes Yodé et Siro, Yabongo Lova et bien d’autres, à loisir, organisent désormais des concerts dans la salle huppée du Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire ou dans des stades bâtis dans le cadre de la Can (Coupe d’Afrique des nations) 2023, avec des droits d’accès à hauteur de 100, 200, 300 mille Fcfa pour l’Hôtel Ivoire. Mais, en dépit de cela, ces concerts se jouent à guichets fermés. Ce qui permet à ces artistes et à toute la chaine des valeurs d’engranger de fortes sommes comme retour sur investissements.

Le reflet de cette attractivité de la culture ivoirienne, il faut le noter, se manifeste également à travers  les prestations des artistes ivoiriens à travers les grandes capitales du monde.

Il est de notoriété, les artistes ivoiriens sont désormais cotés sur le plan international.

Les œuvres des artistes plasticiens : Aboudia, Ouattara Watt, Samir Zarour ; le sculpteur Jams Kokobi et bien d’autres artistes des arts visuels s’arrachent  sur le marché international.

Dans le domaine de la musique, Magic System, Roselyne Layo, Josey, Kerozen, les humoristes Ambassadeur Agalawal, Le Magnific, Michel Gohou et bien d’autres sont, régulièrement, en attraction à Paris, Londres, New York, Ottawa.

Même les groupes et artistes  tradi-modernes tels que le Zaouli, la compagnie Min-Moh, et bien d’autres,  bénéficient désormais des conditions optimums de travail, en Côte d’Ivoire. Ils conçoivent des productions de haute qualité qu’ils présentent à leurs inconditionnels et au public dans les différentes capitales à travers le monde.

Il en est de même dans plusieurs domaines où la Côte d’Ivoire trône au sommet du monde. C’est le cas de la Coupe du monde de dictée, remportée en 2024 au Canada par l’élève ivoirien Krecoum Loevan Samuel ; le Championnat du monde de Slam, remporté la même année par le jeune Noferima Fofana face à la Belgique en finale, sans oublier le concours mondial de Disc-Jockey (Dj).

 

 

Des fonds et facilités de financement de projets

Toutes ces victoires, témoignent de la qualité du dispositif mis en place, dans tous les domaines des arts pour faire éclore le génie des ivoiriens.

Et tout cela prend appui sur des mécanismes d’accès au financement.

C’est le cas du fonds mis en place, par la Côte d’Ivoire, à hauteur d’ un milliard de FCfa pour le financement des Industries culturelles et créatives (Icc). Ce fonds  vise à soutenir les acteurs de la culture dans leurs projets de création et de développement. Et cela, avec un partenariat entre le gouvernement ivoirien et Orange Bank Africa, avec le soutien de l'Agence Emploi Jeunes.

Au-delà du développement humain, la Côte d’Ivoire, sous Alassane Ouattara, met également l’accent sur la rénovation et la création des nouvelles infrastructures artistiques et culturelles. C’est surtout le monde du cinéma qui connait un regain en la matière. Aujourd’hui, le pays dispose de plusieurs salles de diffusion. Ce sont, entre autres, les cinémas Majestic (Ivoire, Prima, Sococé, Ficgayo) ; Pathé Cap sud, Majestic Yamoussoukro et bien d’autres salles de l’intérieur du pays. Ces salles diffusent des films et séries ivoiriens. Ce qui permet aux acteurs, aux réalisateurs  et à tous les corps de métier de s’en sortir à bon compte.

Au nombre des salles de spectacle des arts de la scène, le palais de la Culture de Treichville, bâti par Alassane Ouattara, alors Premier ministre du père de la Nation,  continue de faire la fierté des artistes. Ils bénéficient de tarifs préférentiels pour y produire leurs spectacles. Et, à la demande du chef de l’Etat, la ministre de la culture et de la Francophonie soutient certains créateurs qui n’ont pas la possibilité d’assurer les frais de location de salle.  

 

 

Réparer des injustices de plusieurs décennies !

Par-dessus tout, la politique culturelle de l’actuel chef de l’Etat met l’homme au centre de son action. Elle mise sur la professionnalisation du secteur, afin que les acteurs vivent décemment du fruit de leurs créations. C’est en cela que l’une des récentes actions porte sur les consultations avec le monde des arts. Cela, pour déterminer les conditions de délivrance de la carte professionnelle d’artiste.

 

Ainsi, désormais, en Côte d’Ivoire, l’on sait qui est artiste ! Quels sont les avantages fiscaux et les bénéfices financiers afférents à ce précieux sésame ?

Déjà, l’une des retombées de cette carte, c’est que les artistes ivoiriens bénéficient du régime de prévoyance sociale, notamment la Couverture maladie universelle (Cmu) et du régime social des travailleurs indépendants, sans oublier l’assurance complémentaire de retraite. « Qui dit mieux ? » Rapporte une icône du Reggae ivoirien !

Il est plus que vrai que les artistes ivoiriens, sous le régime Ouattara, évoluent dans un cadre normatif et professionnel adéquat et vivent pleinement des retombées de leurs créations.

Jean Antoine Doudou