Présidentielle 2025 : Ouattara, un don du ciel !
 
                                Un éléphant dans un magasin de porcelaine ! S’il n’avait pas jusque-là jouit de la réputation – qui lui colle si étroitement à la peau – d’homme raffiné et pondéré en toute circonstance, l’image aurait bien correspondu à un Alassane Ouattara balayant, tel un mammouth, tout sur son passage dans une élection présidentielle où il a tout raflé, ne laissant aucune chance à ses adversaires. 
Mais la vérité est tout de même là, difficile à occulter : le candidat du RHDP a littéralement pulvérisé ses antagonistes – quatre au total – du 25 octobre dernier, en s’adjugeant à lui tout seul 89,77% de suffrages. Les résultats provisoires de ce scrutin, dévoilés le lendemain même par la Commission électorale indépendante, ont laissé ainsi clairement jauger la supériorité sociologique du RHDP, mais aussi et surtout le poids autrement écrasant dans la balance politique ivoirienne de son illustre président. L’Houphouëtiste en chef a une fois de plus honoré sa notoriété de gagneur, de conquérant, de champion.
 
 
Cependant à y regarder de près, cette victoire éclatante d’Alassane Ouattara, qui n’a surpris ni les observateurs avertis ni les millions d’Ivoiriens convaincus par la constance de son action, ne doit rien au hasard.  Si l’expérience, la stabilité économique et la vision d’une Côte d’Ivoire émergente ont pesé lourd dans la bascule électorale, c’est bien le quotient personnel du chef de l’État – mélange rare de rigueur, d’intelligence affective et de leadership pragmatique – qui a constitué le véritable atout-maître de son succès. Mais, c’est sans doute par-dessus tout, cet amour réel pour son pays, dénué de tout artifice politicien, d’intérêt égoïste ou de dessein inavoué, et que les Ivoiriens ont pu observer chez l’homme durant ces quinze dernières années, qui leur ont interdit de prendre le risque d’une autre aventure. 
La raison, la rigueur et la renaissance
Car, sauf à être de mauvaise foi – on la dit du reste la mieux partagée dans le landerneau politique ivoirien –, il serait très difficile de prétendre qu’Alassane Ouattara a conquis et exercé le pouvoir d’Etat pour sa gloire et son profit personnels. Tout, et absolument tout, montre que l’ancien Directeur général adjoint du Fonds monétaire international a pris en main le destin des Ivoiriens, pour l’enrichir, pour le vivifier, en ayant en cela à cœur d’offrir à chacune et chacun de ses compatriotes, le mieux-être possible.
 
 
Économiste chevronné, bâtisseur infatigable, Ouattara a redonné à la nation ivoirienne son souffle et sa dignité. Lorsque la Côte d’Ivoire sombrait dans l’incertitude, il a incarné la raison, la rigueur et la  renaissance. Face au chaos, il a choisi la reconstruction ; face au doute, il a imposé la vision. Résultats : routes, écoles, hôpitaux, énergie, eau potable, emplois, etc. Son empreinte se lit dans chaque région du pays, sur les routes nouvellement bitumées ou réhabilitées qui les relient, dans chaque avancée sociale, dans chaque espoir retrouvé. Personne d’autre avant lui, en dehors bien-sûr du père fondateur Félix Houphouët-Boigny, ne l’avait fait. Aucun dirigeant au même poste n’avait autant investi son capital d’engagement personnel dans l’amélioration des conditions de vie de ses concitoyens. 
C’est que, depuis son accession au pouvoir, Alassane Ouattara s’est imposé comme un dirigeant à la fois rigoureux et visionnaire. Son intelligence stratégique, sa maîtrise des enjeux économiques et sa capacité d’écoute lui ont permis de maintenir le cap, même face aux vents contraires. Mais au-delà des chiffres et des infrastructures, il est l’homme de conviction qui inspire. Celui qui croit au travail, à la paix et à la compétence. Des valeurs presque uniques en leurs genres en matière de gestion des hommes à l’échelle nationale. Cet ensemble de références morales en font indubitablement un grand président de la République.
Un repère de stabilité et de continuité
Du coup, ils sont très peu nombreux les Ivoiriens qui ne se satisfont pas de ce quotient personnel hors du commun d’Alassane Ouattara. Avoir pour soi cette faculté à allier la technicité de l’économiste au sens politique du rassembleur, à manier la rigueur, la méthode et la preuve par les résultats, là où d’autres ne se contentent que de slogans creux, il faut être de la race des grands hommes d’Etat. Et quand on ajoute à cela cette dimension humaine du leader apaisé, mesuré dans ses propos et jamais hautain, on ne peut que correspondre au portrait tout craché de l’homme providentiel. 
 
De plus, dans une Afrique souvent secouée par les incertitudes, Ouattara apparait clairement comme une valeur sûre, un repère de stabilité et de continuité. Son message d’unité nationale, son appel au travail et à la discipline qu’il n’a eu de cesse de distiller au cours de la campagne – quand d’autres se bombaient la poitrine le couteau  entre les dents – ont trouvé un écho fort chez les jeunes, les femmes et les acteurs économiques. Ce lien affectif, cette confiance renouvelée, sont les fruits d’un quotient personnel exceptionnel : celui d’un homme qui comprend, inspire et fédère. 
Au fond, cette victoire sans ambages d’Alassane Ouattara dépasse le simple cadre politique. Elle illustre la reconnaissance d’un peuple envers un dirigeant dont le charisme tranquille et la compétence éprouvée continuent de porter haut les ambitions d’une Côte d’Ivoire moderne et respectée. En 2025, plus que jamais, Alassane Ouattara a démontré que le leadership n’est pas qu’une question de pouvoir, mais d’équilibre intérieur, de vision claire et de dévouement sincère à la nation.
L’espoir en des lendemains meilleurs continue…
C’est cette alchimie rare entre le savoir-faire et le savoir-être, entre la raison et le cœur, qui a constitué l’atout-maître de sa victoire. Et c’est aussi elle qui trace la voie d’un nouveau chapitre pour la Côte d’Ivoire : celui d’une nation confiante, unie et résolument tournée vers l’avenir.
Ce quotient personnel s’est exprimé à travers sa proximité avec les réalités du terrain, son discours apaisant et sa volonté d’unité nationale. Dans un contexte régional marqué par l’instabilité, Ouattara est apparu comme le garant d’une continuité rassurante et d’une modernité maîtrisée.
 
Sa victoire s’explique aussi par sa capacité à allier fermeté et ouverture, expérience et adaptabilité. En somme, Alassane Ouattara a su transformer son capital personnel en capital politique, imposant une nouvelle fois son empreinte sur la scène ivoirienne. 
Un tel homme, qui accumule tant de valeurs, un tel président de la République qui ne recule devant rien pour tout donner à son peuple peut-il être perçu autrement que comme un don du ciel ? Alassane Ouattara est bel et bien ce cadeau du ciel que les Ivoiriens n’avaient que trop attendu et qu’ils ont fini par voir apparaitre dans leur vie, voilà quatorze ans en arrière. Et depuis, ils ont le réel sentiment, la sensation palpable, qu’ils vivent beaucoup mieux qu’auparavant et que l’espoir en des lendemains meilleurs est toujours là, avec le désormais tout nouveau président de la République élu et qui ne sera que très bientôt confirmé dans ses fonctions par le Conseil constitutionnel. 
KORE EMMANUEL
 

 
                    
                 
                    
                 
                    
                 
                    
                 
                    
                 
                    
                 
                    
                 
    
             
    
             
    
             
    
             
    
             
    
             
    
                                        
                                     
    
                                        
                                     
    
                                        
                                     
    
 
    
 
    
 
    
 
    
 
    
 
    
 
    
