Trois questions à…  Camille Akpa Cess (Délégué de Zone politique RHDP Dabou-Sud) : « Ceux qui parlent de 4e mandat tentent de décrédibiliser la victoire de notre champion qui se profile à l’horizon »

À quelques mois de l’élection présidentielle du 25 octobre 2025, Camille Akpa Cess, cadre du RHDP influent à Dabou, affiche une confiance inébranlable en la candidature du Président Alassane Ouattara. Face aux critiques de l’opposition sur un supposé "quatrième mandat", il dénonce une stratégie de diversion et salue la décision du chef de l’État de répondre à l’appel de ses militants. Dans cet entretien exclusif, il revient sur les enjeux du scrutin à venir, la mobilisation dans la région des Grands Ponts, et réaffirme son engagement total pour une victoire dès le premier tour.

Trois questions à…  Camille Akpa Cess (Délégué de Zone politique RHDP Dabou-Sud) : « Ceux qui parlent de 4e mandat tentent de décrédibiliser la victoire de notre champion qui se profile à l’horizon »

Le Patriote : Lors de la marche du Front commun samedi dernier, les militants de l’opposition ont scandé qu’ils ne voulaient pas un quatrième mandat. Que leur répondez-vous ?

Camille Akpa Cess : C’est de la mauvaise foi. Mais, c’est aussi et surtout la preuve que le Président Ouattara effraie ses adversaires. Ceux qui parlent de quatrième mandat tentent de décrédibiliser la victoire de notre champion qui se profile à l’horizon. Parler d’un quatrième mandant, c’est aussi faire preuve de mauvaise foi. Ce n’est pas à l’opposition de dire si le Président Ouattara doit être candidat ou pas. Pour nous, la question ne se pose pas. Le Conseil constitutionnel a tranché en 2020.

 

 

LP : Après plusieurs semaines de suspense, le Président Ouattara a enfin dit oui à ses militants qui souhaitent ardemment qu’il soit candidat à la présidentielle d’octobre 2025. Qu’en pensez-vous ?

CAC : C’est vrai que le dernier mot lui revenait. Le chef de l’Etat vient à nouveau de nous montrer qu’il est un grand homme d’Etat. Il a écouté l’appel du peuple.  Je salue cette décision noble de se porter candidat à la prochaine échéance électorale du 25 Octobre 2025. C’est une manière encore de venir en pompier pour sauver son pays. En tant qu’homme de paix et de grand cœur, il  a su répondre au bon moment  à l’appel de son peuple. Seulement que je regrette qu’une personnalité comme lui ait été combattue durant de longues années. Il est venu tardivement aux affaires.  En si peu de temps, il a révolutionné toute la Côte d’Ivoire par ses grandes œuvres de développement sur tous les plans. Chapeau au président de la République.

 

 

LP : Les Ivoiriens seront appelés aux urnes le 25 octobre pour choisir leur président de la République. En votre qualité de responsable politique au niveau de Dabou, comment préparez-vous cette échéance ?

CAC : Nous sommes en ordre de bataille. Pour moi, le président de la République est dans la mission que Dieu lui a confiée pour son pays.  Il ira jusqu’au bout. Le choix d’un gouverneur émane de Dieu. Notre devoir, en tant que fils et filles du pays, c’est de l’aider et de nous soumettre à lui dans sa vision de développement et du vivre ensemble. Pour nous, il n’y a pas de doute :  au soir du samedi 25 octobre, c’est bel et bien le Président Ouattara qui sera réélu au 1er tour avec une majorité écrasante. Au niveau des  Grands Ponts, nous allons ensuite nous mobiliser  pour remporter  les élections législatives, sénatoriales, municipales et régionales. Nous allons démontrer à toutes les régions de Côte d’Ivoire que le Président Ouattara est notre  neveu. J’invite mes parents des Grands Ponts mais aussi l’ensemble des Ivoiriens à se préparer pour le 25 octobre prochain.

 

Recueillis par TL