ADN - Jean Yves Esso, président fondateur : “Si nous aimons la Côte d'Ivoire, suivons le Président Alassane Ouattara”

Un nouveau mouvement de soutien au Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP) et à son président, Alassane Ouattara, président de la République de Côte d'Ivoire, a vu le jour hier à l’issue de son assemblée générale constitutive dans un hôtel à Cocody. Il s’agit de l’Armée du net (ADN) fondée et présidée par Jean-Yves Esso. Selon l’ex-inspecteur et membre du bureau politique de Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI), le Président de la République Alassane Ouattara est une véritable chance pour la Côte d'Ivoire. Convaincu de cela, il a “jeté à la poubelle ses émotions’’ pour mettre sur un plateau d’or la raison. “Si nous aimons la Côte d'Ivoire, suivons le Président Alassane Ouattara” a-t-il affirmé sous les applaudissements nourris. Avant de donner les raisons de la création de son mouvement. “Aujourd'hui, l’ADN ne naît pas par hasard. Elle naît dans un contexte où le mensonge s’organise, la manipulation s’étend, et les réseaux sociaux deviennent le champ de bataille des consciences. Nous avons vu comment, dans le silence ou la confusion, des forces obscures se sont accaparé le numérique pour semer le doute, l’anarchie et la haine. Face à cela, nous avons décidé de dire non à l’intoxication de la jeunesse, non à la banalisation de l’incivisme numérique, non à la compromission des valeurs républicaines sur Internet.  Nous sommes réunis ici, aujourd'hui, pour donner naissance officiellement à un mouvement inédit dans l’histoire politique de notre nation. Un mouvement issu de la toile, mais tourné vers le réel”, a-t-il expliqué. A l’en croire, l’ADN a pour mission de défendre les institutions de la République sur le terrain numérique ; d’expliquer les réformes, les projets, les choix politiques avec pédagogie ; de démasquer les fausses informations et les pièges de la manipulation ; de promouvoir le vivre-ensemble et soutenir les politiques de développement avec la vision ;   de construire une jeunesse consciente, connectée et contributive. “L’ADN n’est plus une idée, c’est une réalité. Une réalité militante. Une réalité citoyenne. Une réalité politique. Et je vous exhorte : ne soyez pas de simples spectateurs de l’histoire. Soyez des acteurs. Soyez des sentinelles. Soyez des repères”, a-t-il recommandé.

Lacina Ouattara