Ouattara travaille pour vous-Construction de routes, écoles, électricité, eau, hôpitaux... : Les raisons valables du District des Montagnes pour rendre hommage à un infatigable travailleur

Ouattara travaille pour vous-Construction de routes, écoles, électricité, eau, hôpitaux... : Les raisons valables du District des Montagnes pour rendre hommage à un infatigable travailleur

Yamoussoukro-Man, quel plaisir de voyager. C’est en tout cas le constat que font de nombreux automobilistes qui empruntent ce tronçon ces derniers mois. Idem pour le tronçon Yamoussoukro-Guiglo. Par une magie dont le Président Alassane Ouattara seul a le secret, le calvaire que vivait les populations sur ces deux tronçons n’est désormais qu’un lointain souvenir. Au-delà de ces deux tronçons, on peut le dire aisément, comme toute la Côte d’Ivoire, ce district a bénéficié d’importants investissements bien sûr dans le domaine des routes, mais aussi dans le secteur de la santé, de l’éducation, de l’électricité, de l’adduction en eau potable…Autant de raisons qui justifie l’hommage que les populations ont décidé de rendre au président de la République aujourd’hui. 
Depuis son accession au pouvoir d'Etat, Alassane Ouattara n'a laissé aucune région en marge de son plan national de développement. Ainsi, le district des Montagnes a été sélectionné parmi les priorités des priorités du chef de l'Etat. Il y a effectué ses premières visites d’Etat et a surtout lancé un plan Marshall dans ce vaste district qui croulait sous les affres de la crise militaro-politique de 2002 et de la crise postélectorale de 2010. Tous les secteurs étaient, en effet, profondément touchés à telle enseigne que le district était classé parmi les régions les pauvres de la Côte d'Ivoire. La seule chose qu'on retenait de cette région était son manque de routes, d'infrastructures sociales dignes de ce nom. Même le secteur du tourisme avait pris du plomb dans l'aile. Tout était à refaire pour son décollage.

Quand le district renoue avec les routes bitumées

Aujourd’hui ce district, constitué des trois grandes régions que sont le Tonkpi, le Guémon et le Cavally, connait une transformation extraordinaire. Dans le Cavally, les populations savourent un ouvrage qu'elles attendaient depuis des lustres, le nouveau pont du Nzo, première entrée de la région du Cavally. L’ancien construit depuis 1958 était pratiquement en fin de vie et constituait un véritable danger. Avec son unique voie, il était impossible pour deux véhicules de se croiser et la traversée inquiétait souvent les usagers. C'est désormais un vieux souvenir, les populations de Guiglo ont un pont moderne digne de ce nom. Le nouvel ouvrage à poutre en béton précontraint de 111,77 m de long dispose de 3 travées. Avec une largeur totale du tablier estimée à 12,57 m. 
À côté de ce joyau, il y a le bitumage en cours de l'axe Guiglo-Duékoué-Blolequin long de 98 km, l'axe Toulepleu-Tai ou encore Toulepleu-Bin Houye jusqu'à Zouhan Hounien. 
Dans le Guemon, les populations savourent le bitumage de l'axe Yamoussokro Daloa-Duekoue-Man en passant par Bangolo qui s’est transformé en autoroute moderne. Dans le Tonkpi, l'axe Man-Danané et Danané-Zouhan sont bitumés ce qui a sorti totalement ces départements de la précarité. A noter, le bitumage de l'axe Man-Gbone ou encore Danané frontière Guinée. Les bitumages en cours de l'axe Sipilou-Biankouma et Man-Kouibly qui transformeront davantage le visage des différents départements. A cela, il faut ajouter le bitumage des artères principales des différentes villes impactées par ces vastes travaux. Grâce à l'offre politique du chef de l'Etat qui a mis l'homme au cœur de ses actions, le District des Montages autrefois oublié, est de retour et peut se vanter d'avoir des infrastructures de qualité. La circulation y est redevenue facile. 

Des établissements hospitaliers qui ont fière allure

Dans sa politique d'amélioration du cadre des établissements sanitaires en Côte d’Ivoire, le gouvernement, sous le leadership éclairé du Président Alassane Ouattara, a entrepris des travaux d'envergure de réhabilitation et de construction de plusieurs centres hospitaliers régionaux (CHR) dans le pays. Au nombre de ces hôpitaux, figure le CHR Félix Houphouët-Boigny de Guiglo aujourd’hui appelé établissement public hospitalier régional dont le coût des travaux s'élève à 2,7 milliards FCFA. Tous les services disponibles au sein de cet établissement sanitaires ont été réhabilités. Notamment la maternité, le bloc gynéco-obstétrique, la réanimation, le laboratoire et l’imagerie médicale. Tous présentent les commodités aux normes internationales en matière de santé. 
Dans le Guémon, l'hôpital général de Duekoué a fière allure. De nouveaux services ont été créés. De nouveaux bâtiments sont sortis de terre. Notamment un service d’hospitalisation maternité-pédiatrie dont un bloc opératoire, le service d’imagerie médicale, le laboratoire, la réanimation et les urgences. La réhabilitation des anciens bâtiments inclus dans les travaux est aussi terminée. Dans ces blocs retouchés, on trouve la pharmacie, la médecine générale, l’hospitalisation chirurgie femme et chirurgie homme, le bloc opératoire 2 et la gynéco obstétrique. L’hôpital général de Duékoué dispose de 120 lits. 
Dans le Tonkpi, deux joyaux sont sortis de terre, il s'agit de l'hôpital général de Danané avec tout son plateau technique moderne et le CHR de Man aux normes modernes et internationales. Construit sur une superficie de 7 hectares, il regroupe 15 services intégrés dans 16 blocs d'une surface totale bâtie de 12450 m2 avec une capacité de 110 lits. Il s'agit d'une consultation externe, urgence, 3 blocs chirurgicaux, réanimation, réanimation néonatale, centre de dialyse, stérilisation, les laboratoires (Un de microbiologie l'autre biochimie-immunologie-hématologie), imagerie médicale y compris scanner 64 barrettes, gynécologie-obstétrique, hospitalisation pédiatrique, médecine, chirurgie, maternité. Il a coûté 27,6 milliards dont 8,3 milliards pour les équipements. Le CHR possède également des équipements techniques permettant son fonctionnement autonome si nécessaire, il s'agit en particulier de deux groupes électrogènes de 200 KWA chacun, un forage d'eau, une bâche à eau alimentaire de 60 m3, une bâche à eau incendie de 210 m3, un château d'eau de 25 m3, deux centrales de production d'oxygène permettant de s'affranchir de la problématique de la livraison des bouteilles. A ces joyaux sanitaires s'ajoutent la construction de plusieurs centres de santé dans plusieurs sous-préfectures et la mise à disposition d'ambulances médicalisées pour faciliter le transport des malades. 

Les filets sociaux productifs et le recul de la pauvreté


Dans le Tonkpi, le chef de l'Etat, dès son arrivée à la magistrature suprême, a insisté sur la mise à disposition d'une eau de qualité au profit des populations. C'est ce chantier qu’il a démarré à son passage à Man où la station d'alimentation d'eau de Zoba dans le Tonkpi est sortie de terre. Cette station a mis fin à plusieurs décennies de problème d'eau dans le Tonkpi. Il en est de même dans les régions du Guémon et du Cavally où les populations peuvent se vanter de boire de l'eau potable. Même son de cloche pour l'électricité. Dans sa politique de l'électricité pour tous, le chef de l'Etat a instruit le gouvernement de donner le courant à toutes les localités de 500 âmes. Politique appliquée à la lettre. Ainsi dans le District des Montagnes, le taux de couverture en électricité oscille entre 80 et 90%.
44 968 ménages bénéficiaires en 8 ans pour la région du Tonkpi et plus de 30.000 bénéficiaires pour les régions du Guémon et du Cavally. Financé par la Banque mondiale, le programme filets sociaux productifs vise à améliorer le niveau de consommation des ménages pauvres et à les sortir de l'extrême précarité. En plus de l’allocation trimestrielle de 36 000 francs CFA sur trois ans, un dispositif d'encadrement a été mis en place pour apprendre aux bénéficiaires à gérer ce montant, à travers des formations sur le budget familial et la mise en place d'activités génératrices de revenus, leur permettant de devenir autonomes à la fin des trois ans. Dans le District des Montagnes, le programme a véritablement démarré lors de la phase pilote en 2017 avec les cohortes 1 et 2 (2015-2020). Ont suivis cohorte 3 (2019-2022), la cohorte 4 (2020-2024), la cohorte 5 (2023-2026) et la cohorte 6 qui s'étend de 2024 à 2027. « Ce projet a transformé positivement la qualité de vie des bénéficiaires. Aujourd'hui, ces populations sont véritablement heureuses. Ce sont des ménages dont les enfants, pour la plupart, vont à l'école, les mesures d'inclusion économique ont permis de les sortir de la précarité et aujourd'hui, ces ménages ne sont plus considérés comme pauvres », a-t-il déclaré.

L'université de Man, une autre fierté du district

Parmi les actions du chef de l'État qui ont sorti la région de sa léthargie, il faut mettre un point d'honneur sur la toute première université publique sortie de terre du district. L'université polytechnique de Man (UPM) est aujourd'hui une fierté pour le district. Créée par décret 02015-776 du 9 décembre 2015, l’Université de Man est un établissement public administratif d’enseignement supérieur et de recherche pluridisciplinaire qui a pour mission principale d’assurer la formation des cadres scientifiques et techniques spécialistes du développement local rural et communautaire. Elle s’inscrit dans la politique de décentralisation des universités (PDU) entreprise par l’État de Côte d'Ivoire depuis 2011. Elle regroupe 5 Unités de Formation et de Recherche (UFR) dont l’UFR des sciences et de la technologie ; l’UFR des sciences géologiques et minières ; UFR d’ingénierie agronomique, forestière et environnementale ; UFR des sciences médicales. Dès sa création, la politique du genre a été inscrite en bonne place des priorités, tant au niveau du personnel recruté (40% de femmes) que des actions menées en faveur de la jeune étudiante (priorité aux femmes notamment en matière de logement, transport et bourse d’étudiants). Elle représente une fierté pour le peuple du District autonome des Montagnes.
Junior Oulai (correspondant)

Axes Guiglo-Taï et Man-Kouibly, la fin du calvaire approche

Attendus depuis longtemps, les projets de bitumage des routes Guiglo-Taï (85 km) et Man-Kouibly (48 km) sont en passe de devenir réalité. Grâce à l'initiative du chef de l'État, le lancement des travaux a ravivé l'espoir des populations locales. Les habitants des régions du Tonkpi, du Guémon et du Cavally, qui attendaient ces infrastructures depuis des années, verront leur quotidien transformé. Ces axes, une fois bitumés, renforceront les échanges commerciaux et faciliteront le transport des biens et des personnes entre ces régions. Le désenclavement du District des Montagnes sera ainsi grandement amélioré grâce à cette réalisation sous l'égide du Président Alassane Ouattara.
JO


L’emploi des jeunes, une réalité palpable

Dans le District des Montagnes, l'employabilité des jeunes est devenue une réalité. Dans le cadre de sa politique d'autonomisation de la jeunesse, le chef de l'État a mis en place l'Agence Emploi Jeunes, dont la mission est de promouvoir l'auto-emploi, de former et d'insérer les jeunes dans le tissu socio-économique, tout en assurant un suivi pour pérenniser leurs activités. Cette initiative contribue également au renforcement du tissu économique national, à la création de richesse et d'emplois.
Les effets de cette politique se font sentir dans tout le district. À Guiglo, dans la région du Cavally, plus de 4 140 jeunes ont bénéficié de programmes pour un montant total de 1 272 094 295 F CFA. Dans le Tonkpi, entre 2019 et 2022, ce sont 6 442 jeunes qui ont été touchés par les différents programmes d'emploi jeunes : 1 130 en 2019, 1 981 en 2020, 1 308 en 2021 et 2 023 en 2022, avec un investissement global de 1 milliard 545 millions de F CFA.
Divers programmes ont été mis à la disposition des jeunes, notamment les AGR (Activités génératrices de revenus), le programme de stages de formation, l'apprentissage, le financement de projets structurants, la formation de reconversion, le placement en stage des diplômés, les stages de qualification, le programme THIMO (Travaux à Haute Intensité de Main d'Œuvre), ainsi que des initiatives comme les permis de conduire et l'Association Villageoise d'Épargne et de Crédit (AVEC). Dans le Guémon, cette dynamique est également bien perçue. « Nous remercions le chef de l'État pour les nombreux projets en faveur des jeunes, tels que les programmes Thimo, Pejedec et AGR. C’est un devoir de reconnaissance envers notre bienfaiteur », a déclaré Kei Tienkoua, président des jeunes de Bangolo, en référence aux impacts positifs de ces initiatives sur leur quotidien.
JO