Résilience climatique : Un atelier analyse les défis et axes de coopération bilatéraux et multilatéraux
Valider le diagnostic de la coopération dans les domaines du changement climatique, la lutte contre la sécheresse et la désertification dans les zones frontalières. Analyser les accords de coopération bilatéraux et multilatéraux, les politiques régionales, les dispositions règlementaires nationales et les grands projets de lutte contre le changement climatique, la désertification et la sécheresse. Cela, en vue de relever les grands défis et proposer des axes de coopération.
Ce sont entre autres objectifs de l’atelier de validation de l’état des lieux de la politique d’appui à la coopération en matière de résilience climatique, de lutte contre la désertification et la sécheresse dans les zones frontalières qui s’est tenu du 11 au 13 novembre 2024, à Grand-Bassam.
Le changement climatique et les risques, tant naturels que technologiques, ne connaissent pas de frontières. L’on observe de graves conséquences socioéconomiques dans les pays du Cilss/Cedeao notamment sur les secteurs agro–sylvo-pastoraux, halieutiques, avec des variations de saisons pluvieuses et sèches, la déforestation, la dégradation et la perte progressive des terres arables, la baisse des précipitations et la hausse des températures.
C’est dans cette optique que la direction des Politiques communautaires de la promotion humaine et du développement durable, en collaboration avec le point focal national Unccd, a initié la Politique d’appui à la coopération en matière de résilience climatique, de lutte contre la désertification et la sécheresse dans les zones frontalières.
Dans son allocution, M. Goli Kouamé Louis Philippe, directeur de cabinet, représentant le ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration africaine et des Ivoiriens de l’Extérieurs, chargé de l’Intégration africaine et des Ivoiriens de l’Extérieur, s’est félicité de la tenue de « cette assise qui dresse le tableau de l’engagement de la Côte d’Ivoire à adresser une thématique en lien avec le cadre de vie ».
Quant à Bie Hubert, directeur des politiques communautaires, de la promotion humaine et du développement durable « fructueux échanges en vue d’améliorer le rapport diagnostique ».
Jad