RHDP pour toujours !

Comme annoncé et initialement prévu dans le calendrier électoral, le sprint final du scrutin présidentiel du 25 octobre prochain a débuté le vendredi 10 octobre 2025, avec le lancement officiel de la campagne électorale. Pendant quatorze jours, les cinq candidats en lice partiront à la conquête des 8,7 millions d’électeurs, armés d’idées et de projets concrets pour développer le pays et améliorer durablement les conditions de vie des Ivoiriens.
Pour ce premier week-end de campagne, l’heure est au déploiement des différentes machines sur le terrain. Si le candidat du RHDP (Rassemblement des Houphouëtistes pour la Démocratie et la Paix), Alassane Ouattara, archi-favori du scrutin, a donné le ton à Daloa, la cité des Antilopes, avec une impressionnante démonstration de force populaire comme à son habitude, les autres candidats -notamment Jean-Louis Billon, Ahoua Don Mello et Simone Gbagbo- ont, pour certains, choisi Abidjan pour entamer leur opération séduction. Quant à Henriette Lagou, la dernière candidate en lice, elle lancera officiellement sa campagne ce lundi 14 octobre à Daoukro, sa terre natale.
Mais déjà, dès les prémices de cette ultime étape avant le jour du vote, l’omniprésence du RHDP sur le terrain est palpable. Des équipes sont en branle partout, portées par une organisation structurée, une ligne directrice claire, une démarche savamment orchestrée et une trajectoire bien définie. Pourtant, cette élection représente une occasion rêvée pour l’opposition -radicale ou non- de tenter de mettre fin, par les urnes, à l’hégémonie du RHDP. Or, elle semble n’avoir rien de crédible à proposer aux Ivoiriens pour faire franchir un cap à ce pays. À tout le moins, rien qui surpasse ce qu’ont accompli jusqu’ici le RHDP et son président.
Ce à quoi l’on assiste, c’est une litanie de récriminations infondées, nourries de haine, de tribalisme et de xénophobie. Le tout, saupoudré d’une bonne dose de mauvaise foi et d’un populisme affligeant. Ce qui est effarant, c’est le mépris affiché envers le travail titanesque accompli par le Président Alassane Ouattara pour sortir la Côte d’Ivoire du gouffre dans lequel l’avait plongée la gestion calamiteuse de son prédécesseur, Laurent Gbagbo. Dans un nihilisme abscons, certains vont jusqu’à nier les évidences les plus flagrantes.
À dire vrai, en face, il n’y a -pour l’instant- aucune alternative crédible au RHDP. Et ce n’est pas un hasard.
Si les Ivoiriens plébiscitent encore massivement Alassane Ouattara, c’est parce qu’il a hissé le pays à un niveau de développement appréciable, avec des infrastructures majeures ; parce qu’il apporte des solutions idoines à leurs préoccupations ; parce qu’il est à leur écoute. Et surtout, parce qu’il a fait du bien-être des Ivoiriens l’épine dorsale de sa gouvernance.
À force de travail, d’abnégation et avec un don de soi exceptionnel, Alassane Ouattara a conquis le cœur de la majorité des Ivoiriens. Pas seulement ses partisans, mais aussi ceux qui ne militent pas au RHDP. Tous, sans exception, reconnaissent qu’il a travaillé.
Depuis la disparition du Président Félix Houphouët-Boigny, aucun chef d’État n’a autant bâti ce pays que lui, ni posé autant d’actions à forte portée sociale.
Ce bilan probant renforce sa cote de sympathie auprès de nombreux Ivoiriens. Comme on a pu le constater à Daloa, avec un accueil triomphal à son arrivée et une mobilisation exceptionnelle au stade municipal.
De toute évidence, en quatorze petites années de gouvernance, Alassane Ouattara et le RHDP ont redonné à la Côte d’Ivoire toute sa fierté : celle de la locomotive de la zone UEMOA, et l’un des deux mastodontes, avec le Nigeria, de l’Afrique de l’Ouest. Le leadership affirmé et incontesté du président-candidat fait rayonner le drapeau ivoirien dans le concert des Nations. Sous sa houlette, la Côte d’Ivoire n’est plus l’État voyou qu’elle était il y a quelques années, mais une Nation prospère et respectée.
Indiscutablement, son président s’illustre comme le digne successeur du Vieux, par des résultats positifs. Incontestables.
C’est donc à dessein que les Ivoiriens lui confieront à nouveau la destinée de ce pays pour les cinq prochaines années, avec l’espoir de le voir porter la Côte d’Ivoire encore plus haut sur les cimaises du développement. Homme méthodique et rigoureux, Alassane Ouattara projette, comme l’indique son programme 2025-2030, de construire « une Grande Côte d’Ivoire ambitieuse et solidaire » autour de six piliers solides : sécurité et paix durables ; capital humain ; infrastructures et pôles régionaux ; agriculture modernisée, mécanisée et rentable ; industrialisation et champions nationaux ; gouvernance performante.
Une vision forte pour la grandeur d’une Nation solidaire.
Charles Sanga