Musique : Abomé Léléfant promet un concert inédit, le 27 décembre 2024, au Palais de la Culture de Treichville

Musique : Abomé Léléfant promet un concert inédit, le 27 décembre 2024, au Palais de la Culture de Treichville
 Abomé Léléfant partagera avec son public un moment de paix et de communion (ph DR))

L’artiste rappeur devenu chanteur, Anassin Boris Médard, connu sous le nom d’Abomé Léléfant, prépare un événement majeur pour ses fans. Il se produira le 27 décembre 2024 à partir de 15h dans la grande salle du Palais de la Culture de Treichville. L’annonce officielle a été faite par l’artiste lui-même lors d’une conférence de presse tenue le mercredi 27 novembre dernier à Cocody-Sococé. Organisé par Winner’s Prod, le concert, baptisé "Au Palais de la Culture", se veut un rendez-vous unique et festif. Fidèle à son engagement envers les enfants, qu’il considère comme une bénédiction, des anges et un symbole de sagesse et de paix, Abomé Léléfant dédie cette soirée à la promotion des valeurs de non-violence. « Je suis un partisan de la paix.

À travers ce concert, je veux servir d’exemple en mettant en avant des valeurs de paix et d’unité », a déclaré l’artiste. Au programme, ses plus grands succès, tels que 'La CAN c’est chez nous", 'Maman Poulet", "Douahoudé", "Sac à dos", "Wéré-wéré", "Ça va danser", "Je sais pourquoi je me prends"... Avec une durée prévue de 1h30, le spectacle promet d’être intense et rythmé. En matière de sécurité, l’artiste se veut rassurant : « Tout sera mis en place pour garantir une ambiance sereine et conviviale. Je promets un concert inédit». 
Marc Koffi, directeur de la Culture et de la Francophonie, a salué l'engagement de l'artiste en faveur de la paix.« Je tiens à dire merci à Abomé Léléfant pour son initiative qui prône la paix et la non-violence. C'est une démarche inspirante», a-t-il déclaré. Avant de souhaiter plein succès à cet événement. Concluant, il a lancé un appel à l'ensemble des acteurs : « rapprochez-vous de l'administration culturelle. Des choses sont en train de se faire. Il faut donc saisir l'opportunité». 


Malaoua Bertin